22 May
22May

En province du Nord-Kivu, les prisonniers des rebelles du M23 (Mouvement du M23) sont victimes de violation des droits de l'homme. Nombreux d'entre eux sont déjà exécutés par ces rebelles à Rumangabo en territoire de Rutshuru, note le rapport de l'ONG Badilika basée surplace.

A en croire ce rapport exploité jeudi 22 mai par la rédaction de rtcr.net, la plupart de victimes sont des capturés de guerre lors de la chute de la ville de Goma le 26 janvier 2025.

"Ces capturés de guerre constitués essentiellement des jeunes civils étaient conduits à Rumangabo. Surplace, les uns  étaient privés des médicaments, repas et les autres étaient tués par balle soit par empoissonnement", peut-on lire dans ce rapport. 

Pour sauver des vies humaines à Rumangabo, cette Organisation Non Gouvernetale (ONG Badilika), appelle la communauté internationale a tourné ses regards dans des zones sous occupation de l'ennemi.

"La communauté internationale à travers la Monusco doit enquêter sur les cas de violation des droits de l'homme par l'ennemi dans sa zone sous son contrôle. Grâce à ces enquêtes, certains capturés de guerre en prison à Rumangabo et à Tshanzu peuvent obtenir leur libéreration".

Le gouvernement congolais est de son côté appelé à songer à dédommager les familles touchées par ces meurtres ciblés.


La rédaction centrale de la rtcr.net 

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